Un énorme nuage de poussières et de gaz retrouvé aux confins de l'espace porterait la trace génétique des premières étoiles de l'univers.
Simulation informatique de l'explosion des premières étoiles - Britton Smith, John Wise, Brian O'Shea, Michael Norman and Sadegh Khochfar |
Ce sont des étoiles de population III. Les premières à s'être allumée, quelques millions d'années après le Big Bang. Cruciales dans l'évolution de l'univers, elles sont les généreuses donatrices des éléments lourds, essentiels à la formation d'étoiles.
C'est après des années de recherches qu'une équipe de scientifiques américano-australienne a peut-être mis la main sur la trace d'une de ces étoiles
Mais pourquoi ces étoiles sont-elles si importantes ?
Au moment de naître, ces étoiles devaient se contenter d'éléments légers comme l'hydrogène et l’hélium pour produire tout autre élément. Du fait de leur composition en éléments légers, elles étaient énormes, des centaines de fois plus grande que notre soleil et finissaient leur vie en supernovae gigantesques.
Explosions qui ensemencèrent une grande partie de l'univers en gaz et en métaux pour la prochaine génération d'étoiles, qui, à leur tour, enrichirent en matière leur espace environnent.
Voilà pourquoi les chercheurs sont attentifs à ce nuage, observé tel qu'il était, seulement 1,8milliard après le big bang, qui pourrait bien être le reliquat de l'explosion de l'une de ces étoiles de population III.
Seule ombre au tableau, on détermine la composition de ces nuages de gaz grâce à la lumière de quasar en arrière-plan. Le problème est que, cette lumière peut traverser plusieurs nuages, faussant ainsi les données récupérées.
C'est pourquoi ils lanceront bientôt un nouveau programme d'observation avec le nouveau télescope spatial James Webb. Dès lors les recherches seront facilitées, car ils ne se limiteront plus à la lumière des quasars, mais utiliseront aussi celle des galaxies. De nouveaux nuages pourront alors être découverts et étudier.
Leur découverte étant capitale pour la compréhension et l’amélioration des modèles cosmologiques.
C'est après des années de recherches qu'une équipe de scientifiques américano-australienne a peut-être mis la main sur la trace d'une de ces étoiles
Mais pourquoi ces étoiles sont-elles si importantes ?
Au moment de naître, ces étoiles devaient se contenter d'éléments légers comme l'hydrogène et l’hélium pour produire tout autre élément. Du fait de leur composition en éléments légers, elles étaient énormes, des centaines de fois plus grande que notre soleil et finissaient leur vie en supernovae gigantesques.
Explosions qui ensemencèrent une grande partie de l'univers en gaz et en métaux pour la prochaine génération d'étoiles, qui, à leur tour, enrichirent en matière leur espace environnent.
Voilà pourquoi les chercheurs sont attentifs à ce nuage, observé tel qu'il était, seulement 1,8milliard après le big bang, qui pourrait bien être le reliquat de l'explosion de l'une de ces étoiles de population III.
Illustation d'un quazar. |
Seule ombre au tableau, on détermine la composition de ces nuages de gaz grâce à la lumière de quasar en arrière-plan. Le problème est que, cette lumière peut traverser plusieurs nuages, faussant ainsi les données récupérées.
C'est pourquoi ils lanceront bientôt un nouveau programme d'observation avec le nouveau télescope spatial James Webb. Dès lors les recherches seront facilitées, car ils ne se limiteront plus à la lumière des quasars, mais utiliseront aussi celle des galaxies. De nouveaux nuages pourront alors être découverts et étudier.
Leur découverte étant capitale pour la compréhension et l’amélioration des modèles cosmologiques.
Rédaction/Infographie/Webmaster: TC - Tu Vas Savoir - TVS.
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