La recherche de la vie sur d'autres planètes vient de devenir beaucoup plus facile grâce à l'invention d'un nouveau test par les chercheurs du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA.
Acide aminé – Glycine – Domaine public, cc. Pixabay. |
«Notre méthode améliore les expériences développées précédemment en augmentant le nombre d'acides aminés qui peuvent être identifiés en un seul essai», a expliqué l'auteure principale de la recherche, Jessica Creamer.
Les acides aminés sont considérés comme des éléments constitutifs de la vie sur Terre.
«En utilisant notre méthode, nous avons été en mesure de faire la différence entre des acides aminés provenant de sources sans vie comme des météorites par rapport à des acides aminés provenant d'organismes vivants», a souligné Peter Willis du JPL.
Le principal avantage de cette nouvelle approche est sa simplicité et sa facilité d'automatisation. Il suffit de mélanger un échantillon avec un liquide réactif avant d'y faire passer un rayon laser. Les molécules sont ensuite séparées et identifiées en fonction de leur vitesse de réaction aux champs électriques.
«L'un des objectifs les plus importants de la NASA est la recherche de la vie dans l'univers. Notre meilleure chance d'y parvenir est d'employer des analyses liquides comme celle-ci sur des mondes recouverts d'océans», a dit Peter Willis.
Pour mettre à l'épreuve leur technique, l'équipe du JPL a recueilli de l'eau du lac Mono, une étendue d'eau salée située en Californie. Cette eau alcaline serait similaire à celle qu'on risque de retrouver sur Encelade (lune de Saturne), Europa (lune de Jupiter) ou même sous la surface de Mars.
Les acides aminés sont considérés comme des éléments constitutifs de la vie sur Terre.
«En utilisant notre méthode, nous avons été en mesure de faire la différence entre des acides aminés provenant de sources sans vie comme des météorites par rapport à des acides aminés provenant d'organismes vivants», a souligné Peter Willis du JPL.
Le principal avantage de cette nouvelle approche est sa simplicité et sa facilité d'automatisation. Il suffit de mélanger un échantillon avec un liquide réactif avant d'y faire passer un rayon laser. Les molécules sont ensuite séparées et identifiées en fonction de leur vitesse de réaction aux champs électriques.
Vue d'artiste – Domaine public cc. Pixabay. |
«L'un des objectifs les plus importants de la NASA est la recherche de la vie dans l'univers. Notre meilleure chance d'y parvenir est d'employer des analyses liquides comme celle-ci sur des mondes recouverts d'océans», a dit Peter Willis.
Pour mettre à l'épreuve leur technique, l'équipe du JPL a recueilli de l'eau du lac Mono, une étendue d'eau salée située en Californie. Cette eau alcaline serait similaire à celle qu'on risque de retrouver sur Encelade (lune de Saturne), Europa (lune de Jupiter) ou même sous la surface de Mars.
Rédaction/Infographie/Webmaster: TC - Tu Vas Savoir - TVS.
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