Après l'envoi d'une sonde vers Mars en 2020, la Chine prévoit d'explorer trois astéroïdes et d'atterrir sur l'un d'eux pour réaliser des recherches scientifiques.
Les
images de Toutatis réalisées par la sonde chinoise Chang'E-2.
|
Le projet des experts est d'envoyer une sonde à proximité d'un astéroïde, d'effectuer un vol de reconnaissance à ses côtés et d'atterrir sur l'un d'entre eux pour réaliser in situ une analyse d'échantillon sur la surface.
Jusqu'à présent, seuls les Etats-Unis et le Japon sont parvenus à faire atterrir des sondes sur un astéroïde.
Cette année, la Chine va envoyer la sonde Chang'e-5 sur la lune et ramener des échantillons. Si cette mission réussit, cela signifiera que la Chine, comme le Japon, est capable de rapporter des échantillons d'astéroïdes pour les étudier en laboratoire sur Terre.
Les scientifiques donneront la priorité à la détection d'astéroïdes géocroiseurs pour analyser la probabilité d'une collision avec notre planète.
Puis étudier la formation et l'évolution des astéroïdes, qui pourraient faire la lumière sur les origines du système solaire, mais aussi de l'eau et de la vie sur Terre.
Et en fin, ils prévoient de faire voler une sonde côte à côte avec un astéroïde surnommé Apophis pour en faire une observation rapprochée, puis d'atterrir sur l'astéroïde 1996FG3. La mission entière durerait près de six ans.
Rappelons qu’Apophis, découvert en 2004, fait la taille de deux terrains de football et son plus long diamètre s'étend sur près de 394 m.
Les analyses montrent qu'il passera à proximité de la Terre en 2029, à quelque 30 000 km de notre planète. Cette distance - très faible à l'échelle astronomique - se situe à l'intérieur de l'orbite lunaire et est encore plus proche de certains satellites artificiels.
Il s'agira de l'astéroïde de cette taille passant le plus près de la Terre et celui-ci devrait également revenir en 2036.
Jusqu'à présent, seuls les Etats-Unis et le Japon sont parvenus à faire atterrir des sondes sur un astéroïde.
Cette année, la Chine va envoyer la sonde Chang'e-5 sur la lune et ramener des échantillons. Si cette mission réussit, cela signifiera que la Chine, comme le Japon, est capable de rapporter des échantillons d'astéroïdes pour les étudier en laboratoire sur Terre.
Les scientifiques donneront la priorité à la détection d'astéroïdes géocroiseurs pour analyser la probabilité d'une collision avec notre planète.
Puis étudier la formation et l'évolution des astéroïdes, qui pourraient faire la lumière sur les origines du système solaire, mais aussi de l'eau et de la vie sur Terre.
Et en fin, ils prévoient de faire voler une sonde côte à côte avec un astéroïde surnommé Apophis pour en faire une observation rapprochée, puis d'atterrir sur l'astéroïde 1996FG3. La mission entière durerait près de six ans.
Rappelons qu’Apophis, découvert en 2004, fait la taille de deux terrains de football et son plus long diamètre s'étend sur près de 394 m.
Les analyses montrent qu'il passera à proximité de la Terre en 2029, à quelque 30 000 km de notre planète. Cette distance - très faible à l'échelle astronomique - se situe à l'intérieur de l'orbite lunaire et est encore plus proche de certains satellites artificiels.
Il s'agira de l'astéroïde de cette taille passant le plus près de la Terre et celui-ci devrait également revenir en 2036.
Illustration de l'orbite d'Apophis – NASA.
|
Rédaction/Infographie/Webmaster: TC - Tu Vas Savoir - TVS.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire