Des extraterrestres pour expliquer les baisses de luminosité de l'étoile KIC 8462852.
L'étoile KIC 8462852 photographiée dans l'ultraviolet et dans l'infrarouge. © Nasa. |
c'est en octobre dernier que tout a commencé. Jusqu'à créer unbbuzz démesuré sur le web, lorsque des chercheurs de l'université de Yale annonçaient avoir observé une étoile des plus mystérieuses.
KIC 8462852, qui se trouve à 1 480 années-lumière de notre planète et se situe dans la constellation du cygne, présentait d'importantes variations de lumière de l'ordre de 20%. mais le plus surprenant est que ces sursauts sont complètement aléatoires. Ce qui éliminait d’emblée l'explication d'une planète gravitant autour d'elle.
Une étude fut lancée pour examiner d'autres pistes – collisions, nuages de particules, disques de poussières, etc. - , mais toutes furent écartées. La seul qui semblait tenir la route était celle de pluies de météorites ou de comètes supergéantes. C'est alors qu'une petite phrase, de l'astronaute Jason Wrigh, lâchée dans le magazine américain The Atlantic, fit sensation. Il y explique que l'on pourrait être en présence d'une super structure d'origine extraterrestre, appelée sphère de Dyson, qui servirait à intercepter une partie de la lumière de l'étoile pour satisfaire des besoins en énergie d'une civilisation très évoluée.
En décembre denier, c'est l'institut SETI, qui décide de tourner ses oreilles vers la fameuse étoile afin d'y entendre une quelconque activité de communication ou de technologie. Mais là encore rein ne se passe. La théorie extraterrestre semble alors au point mort.
C'est Bradley Scheafer, de l'université de Louisiane qui se penche sur le problème. Et reprend la seule explication « naturelle » encore en lice. Celle de la pluie de comètes géantes. Il se plonge alors dans les archives d'Harvard, où il récupérera pas moins 1 232 mesures de luminosité de l'étoile mystérieuse, datant de 1890 à 1989. ces mesures révèlent au chercheur des baisses aléatoires de la luminosité et ce, depuis le siècle passé à l'étudier.
Ce qui amène le chercheur, d'après ses calculs, qu'il ne faudrait pas moins de 648 000 comètes géantes de 200 km de diamètre, qui soient passées devant l'étoile, durant un siècle, pour expliquer les phénomènes. Ce qui est plus qu'improbable.
Mais non comptent de ne pas réussir à expliquer ce phénomène, un autre vient, pointer le bout de son nez. La lumière de l'étoile a diminué de 20 % durant ce siècle. L'astrophysicien n'avance aucune hypothèse, mais pour lui ces deux éléments sont le fruit d'un seul et même phénomène.
La théorie de la sphère de Dyson et la super structure extraterrestre reviennent alors sur le devant de la scène.
Toute foi, l'astrophysicien invite les chercheurs du monde entier à se saisir de ce mystère.
Il y a fort à parier que l'étoile KIC 8462852 n'a pas fini de faire parler d'elle.
KIC 8462852, qui se trouve à 1 480 années-lumière de notre planète et se situe dans la constellation du cygne, présentait d'importantes variations de lumière de l'ordre de 20%. mais le plus surprenant est que ces sursauts sont complètement aléatoires. Ce qui éliminait d’emblée l'explication d'une planète gravitant autour d'elle.
Une étude fut lancée pour examiner d'autres pistes – collisions, nuages de particules, disques de poussières, etc. - , mais toutes furent écartées. La seul qui semblait tenir la route était celle de pluies de météorites ou de comètes supergéantes. C'est alors qu'une petite phrase, de l'astronaute Jason Wrigh, lâchée dans le magazine américain The Atlantic, fit sensation. Il y explique que l'on pourrait être en présence d'une super structure d'origine extraterrestre, appelée sphère de Dyson, qui servirait à intercepter une partie de la lumière de l'étoile pour satisfaire des besoins en énergie d'une civilisation très évoluée.
llustration Sphère de Dyson - par Oscar Pinto. |
Antennes du centre SETI – photo by SETI. |
En décembre denier, c'est l'institut SETI, qui décide de tourner ses oreilles vers la fameuse étoile afin d'y entendre une quelconque activité de communication ou de technologie. Mais là encore rein ne se passe. La théorie extraterrestre semble alors au point mort.
C'est Bradley Scheafer, de l'université de Louisiane qui se penche sur le problème. Et reprend la seule explication « naturelle » encore en lice. Celle de la pluie de comètes géantes. Il se plonge alors dans les archives d'Harvard, où il récupérera pas moins 1 232 mesures de luminosité de l'étoile mystérieuse, datant de 1890 à 1989. ces mesures révèlent au chercheur des baisses aléatoires de la luminosité et ce, depuis le siècle passé à l'étudier.
l'étoile KIC 8462852 - photo téléscope spatial
Kepler – NASA. |
Mais non comptent de ne pas réussir à expliquer ce phénomène, un autre vient, pointer le bout de son nez. La lumière de l'étoile a diminué de 20 % durant ce siècle. L'astrophysicien n'avance aucune hypothèse, mais pour lui ces deux éléments sont le fruit d'un seul et même phénomène.
La théorie de la sphère de Dyson et la super structure extraterrestre reviennent alors sur le devant de la scène.
Toute foi, l'astrophysicien invite les chercheurs du monde entier à se saisir de ce mystère.
Il y a fort à parier que l'étoile KIC 8462852 n'a pas fini de faire parler d'elle.
Rédaction/Infographie/Webmaster: TC - Tu Vas Savoir - TVS.
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