La Corée du Nord vise l'espace.
Fanfare
nord-coréenne lors du lancement du satellite.
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La Corée de Nord avait annoncé le lancement du satellite d’observation entre le 8 et le 25 février. La Chine, pourtant allié de la Corée du Nord, la Corée du Sud et le japon, ont mis en garde le dirigent Nord-coréen, et lui ont demandé de renoncer à son lancement, sous peine de « payer le prix fort ».
Washington à elle aussi menacé Pyongyang (capitale de la Coré du nord), de lui imposer de « lourdes » sanctions dans le cadre du Conseil de sécurité de l’ONU.
Tous ces pays voient dans le lancement de ce satellite un nouvel acte de la part de Pyongyang en vue de se doter de missiles nucléaires, en violation des résolutions de l’Organisation des Nations unies.
Mais tout cela n’a pas empêché le dirigeant suprême, Kim Jong Un, d’appuyait sur le bouton le dimanche 7 février 2016 à 9h, heure local.
Cependant la Corée du Sud voit dans ce tir un essai déguisé de lancement de missile balistique. Ce qui force cette dernière à accepter d’ouvrir des négociations officielles avec les États-Unis pour installer sur son territoire le bouclier de défense antimissile américain baptisé THAAD.
Ce bouclier antimissile est aussi pour Séoul un moyen de faire pression sur une Chine qui ne réussit pas à contrôler son allié nord-coréen et qui refuse de lui imposer un véritable embargo économique. Ce tir de la fusée nord-coréenne risque ainsi de provoquer une nouvelle course aux armements en Asie du Nord-Est.
Washington à elle aussi menacé Pyongyang (capitale de la Coré du nord), de lui imposer de « lourdes » sanctions dans le cadre du Conseil de sécurité de l’ONU.
Tous ces pays voient dans le lancement de ce satellite un nouvel acte de la part de Pyongyang en vue de se doter de missiles nucléaires, en violation des résolutions de l’Organisation des Nations unies.
Mais tout cela n’a pas empêché le dirigeant suprême, Kim Jong Un, d’appuyait sur le bouton le dimanche 7 février 2016 à 9h, heure local.
Cependant la Corée du Sud voit dans ce tir un essai déguisé de lancement de missile balistique. Ce qui force cette dernière à accepter d’ouvrir des négociations officielles avec les États-Unis pour installer sur son territoire le bouclier de défense antimissile américain baptisé THAAD.
Ce bouclier antimissile est aussi pour Séoul un moyen de faire pression sur une Chine qui ne réussit pas à contrôler son allié nord-coréen et qui refuse de lui imposer un véritable embargo économique. Ce tir de la fusée nord-coréenne risque ainsi de provoquer une nouvelle course aux armements en Asie du Nord-Est.
Rédaction/Infographie/Webmaster: TC - Tu Vas Savoir - TVS.
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